Après la sortie de son livre, "le protocole de l'Élysée", les réactions affluent de partout. Et les critiques les plus acerbes proviennent du camp présidentiel. La dernière en date est celle de Pape Malick Ndour, coordonnateur national du PRODAC et responsable politique de l'APR à Guinguinéo (Kaolack).
M. Ndour a d'abord rappelé les propos de Senghor qui aimait à rappeler ceci : "Mettez un ingénieur à la tête du ministère des TP. Il passera son temps à corriger des devis au détriment de l'efficience". C'est à travers cette pensée de Senghor que Ndour dit avoir compris la frustration de TAS.
En effet, dira t-il, dans son livre que j'ai acheté le vendredi et que je viens de finir, il apparaît clair que sa divergence fondamentale avec le President est un problème d'efficacité, de rapidité, de temps et d'obligation de résultats en fast track.’´
Et d'ajouter, "Le PR voulait une ferrari, dans la conduite de ses grands projets infrastructurels et énergétiques, mais malheureusement le gars avait décidé de ne pas être plus qu'une R5." Ainsi, Pape Malick Ndour invite tous les patriotes, "à faire une lecture attentive du livre surtout de la page 229 à la page 338, vous verrez en fait que deux écoles se sont affrontées, celle du Sénégal du fast track et celle du "too slow" sur fond d'une méconnaissance des lois de la République."
Pour finir, M. Ndour estime que "dans son livre TAS étale sa conviction que chez lui, ministres et DG définissent la politique d'une Nation et c'est le Président qui exécute les directives de ceux-ci. Dans une République bananière oui", conclut-il...
M. Ndour a d'abord rappelé les propos de Senghor qui aimait à rappeler ceci : "Mettez un ingénieur à la tête du ministère des TP. Il passera son temps à corriger des devis au détriment de l'efficience". C'est à travers cette pensée de Senghor que Ndour dit avoir compris la frustration de TAS.
En effet, dira t-il, dans son livre que j'ai acheté le vendredi et que je viens de finir, il apparaît clair que sa divergence fondamentale avec le President est un problème d'efficacité, de rapidité, de temps et d'obligation de résultats en fast track.’´
Et d'ajouter, "Le PR voulait une ferrari, dans la conduite de ses grands projets infrastructurels et énergétiques, mais malheureusement le gars avait décidé de ne pas être plus qu'une R5." Ainsi, Pape Malick Ndour invite tous les patriotes, "à faire une lecture attentive du livre surtout de la page 229 à la page 338, vous verrez en fait que deux écoles se sont affrontées, celle du Sénégal du fast track et celle du "too slow" sur fond d'une méconnaissance des lois de la République."
Pour finir, M. Ndour estime que "dans son livre TAS étale sa conviction que chez lui, ministres et DG définissent la politique d'une Nation et c'est le Président qui exécute les directives de ceux-ci. Dans une République bananière oui", conclut-il...
Autres articles
-
Trafic d’influence, corruption, blanchiment : le secteur des jeux en ligne, le pari à coup de milliards
-
Nécrologie : Décès de Léopold Nzalé, fervent défenseur du sport sénégalais
-
L'Etat va-t-il continuer à rester impassible face à la situation catastrophique de la presse sénégalaise ? ( Par Ibrahima Lissa FAYE )
-
Blanchiment des capitaux : « Des mouvements de plusieurs dizaines de milliards décelés entre 2017 et 2024 » (CENTIF)
-
Tabaski 2025 / Séwékhaye : "Le Sénégal a besoin de 2 millions de têtes de mouton... et sur les 2 millions, c'est seulement 300 mille têtes que nous importons des pays voisins" (Mabouba Diagne, ministre)